8.10.12
20.9.12
23.8.12
D-D-D-D-Dédales !!
Voici donc ma participation au deuxième volume de Dédales :
(Procurez-vous le livre dès que possible afin de profiter des doubles pages et du texte en surimpression ; Ka-ching !!)
19.8.12
31.7.12
Brosser le minotaure dans le sens du poil
Histoire de faire preuve d’une avancée des travaux et d’éviter les foudres du grand K. Une avant-première de Dédales N°2 donc.
24.7.12
Le mardi aussi
(N’hésitez pas à cliquer afin de voir l’image plus grande, histoire de me rendre un tant soit peu justice.)
18.7.12
La Bigote y el Gato de la red
Certains me taxe de désertion, je préfère parler de raréfaction. Une faction qui se fait d’ailleurs de plus en plus rare. Vous me répondriez par une moue désapprobatrice à la suite de laquelle j’afficherai sur mon visage l’expression suivante :
Car oui, je suis d’origine africaine et je porte la moustache en plus du dédain. En bonus, un portrait du véritable maître d’internet.
25.6.12
21.6.12
20.6.12
18.6.12
4.6.12
31.5.12
My whole life is a lie…
Comme certains d’entre vous le savent déjà, la nuit je mens, je prends des trains à travers la plaine, ou alors j’enfile masque et cape pour me promener dans les églises parisiennes (les opéras n’étant décidément plus aussi accessibles qu‘auparavant). Et dernièrement, j'ai trouvé ça :
24.5.12
22.5.12
Surtout ne regardez pas…
Trop tard ? Vous êtes désormais en mon pouvoir… je vous avais prévenus pourtant. Bref, bon vous pouvez deviner la suite, un chèque qui vous fera solder vos comptes bancaires à mon ordre. En vous remerciant.
Mise à jour du 27/05:
Bon, apparemment ça n’a pas marché comme cela aurait dû. Je suis obligé d‘employer les grands moyens.
Vous connaissez la marche à suivre désormais.
Mise à jour du 27/05:
Bon, apparemment ça n’a pas marché comme cela aurait dû. Je suis obligé d‘employer les grands moyens.
Vous connaissez la marche à suivre désormais.
17.5.12
15.5.12
2.5.12
1.5.12
27.4.12
24.4.12
5.4.12
4.4.12
31.3.12
30.3.12
29.3.12
27.3.12
20.3.12
Mardi
Cet après-midi, je me suis rendu dans une imprimerie. J’y ai quelque peu flâné le temps que l’on s’occupe de moi… j’ai respiré à fond l’atmosphère du lieu. Le mélange des vapeurs d’encres, de colle, de papier, le son des rotatives en mouvement, l’incessante et fiévreuse activité des personnes y travaillant. Les images apparaissant petit à petit, le papier qui échoue au sol une fois l’impression achevée… cela m’a rappelé de nombreux moments passés dans des lieux similaires. Ce fut agréable.
Sur le chemin du retour, j’ai longé deux écoles, une maternelle, l’autre primaire. En marchant, j’ai regardé les enfants dans les salles de classe. Un jouait à même le sol avec une grue miniature, d’autres étaient assis à leurs pupitres compulsant des livres d’images ou dessinant. Quelques uns me regardaient. Les élèves de l’école primaire étaient de récréation dans la cour, et soit pratiquaient une forme de chat très complexe, dans une zone confinée plusieurs groupes se courant les uns après les autres sans tout le temps prêter attention à leurs camarades les plus proches, soit mimaient la bagarre, soit jouaient au football. Ces deux écoles furent autrefois les miennes. Et comme les enfants qui l’occupent désormais, j’y ai joué, couru, sauté, crié, fondu en larmes, déclaré ma flamme. J’y ai vécu.
On regarde souvent l’enfance comme étant une période bénie. Regrettant de ne jamais pouvoir y retourner, l’on se conforte dans l’opinion qu’il s’agissait de la plus belle période de notre existence. Je ne me rappelle pas de toute mon enfance, mais les choses de l’enfance me sont restées familières. Les capacités d’émerveillement, de surprise, d’imagination, de jeu qui sont les nôtres à l‘enfance devraient être sauvegardées ou à tout prix recherchées si elles ont été oubliées dans le parcours vers l’âge adulte. Ces enfants que j’ai vu cet après-midi, je ne peux m’empêcher de les envier, de les admirer. Car je partage avec eux, malgré les difficultés, malgré les peines, malgré l’âge, ce goût pour l’existence.
P.S. Sous aucun prétexte je ne voudrais redevenir un enfant, les enfants dessinent super mal et il faut toujours leur dire que c’est beau sinon ils chialent.
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